Lacire : Atlantique
L’été, sur la côte Atlantique. Anne, écrivain, parisienne, se retrouve coincée avec Phil dans une maison de vacances abandonnée depuis des années, envahie par la végétation, les meubles rustiques et revêtue d’un crépi beige. « Un truc de fait divers ». La maison de sa belle-famille.
Elle veut faire table rase du passé, lui est attaché aux choses.
Sous le soleil, entre souvenirs d’enfance, coupe du laurier et tris tous azimuts, Anne se débat avec elle-même. Elle doit écrire un second roman mais n’y arrive pas, fonce sur les routes du Médoc, s’accroche à son couple et à cette maison qui n’est pas la sienne.
Au bout du chemin, elle rencontre un romancier connu, reconnu, qui l’accueille à bras apparemment ouverts. Est-ce une sortie du huis clos, une forme d’espoir, une réflexion sur la place que l’on prend ?
Un roman, la vie, ou comment entrer dans l’Océan.