Josse : Et recoudre le soleil
Cette faim ardente à dire ce qui ne se voit pasCe qui court sur les visages les lèvres les paupièresLa vie le vent le souvenir des caresses«
J'ai écrit ces textes dans des carnets, des cahiers, sur des pages volantes, des agendas, des tickets, des listes, des enveloppes, des marque-pages ou dans mon téléphone ; je les ai écrits dans les gares, les trains, les hôtels, les cafés, chez moi, dans le métro, en ville et en d'autres lieux. J'ai eu envie de vous offrir aujourd'hui cette moisson de mots cueillis jour après jour, qu'ils aient été d'orage ou d'allégresse. Mais vivants.
Vivants, oui, et vibrants, toujours. »Gaëlle Josse