Ben Jelloun : Le premier amour est toujours le dernier
Ce livre raconte le déséquilibre et les malentendus entre l'homme et la femme arabes. Les histoires qu'on y trouve ne parlent que d'amour, c'est-à-dire de solitude, de secret, et d'incompréhension. Et puis ce besoin d'amour devient vite une recherche de soi, car pour aimer l'autre, pour donner, il faut s'aimer un peu soi-même. Ce n'est pas si simple, dans un pays où la tradition et la religion aident surtout l'homme à asseoir sa petite puissance, alors même que rien ne peut s'y faire sans la femme.
(Tahar Ben Jelloun erhielt den Erich-Maria-Remarque Friedenspreis der Stadt Osnabrück verliehen)