Zeller : Théâtre 1 (Le Manège, L'Autre, Si tu mourais…, Elle t'attend, La Vérité, La Mère, Le Père)

Autor(en):
Sammlung/Reihe: N° 1178
ISBN: 9782749812298
N°: 
1178
Erschienen: 
20.07.2012
Seiten: 
410
Gewicht: 490 g
Abmessungen: 19 cm × 14 cm × 0.5 cm
Preis inkl. deutscher Mwst.:
23,33€
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Elle et Lui doivent se rendre à l’évidence : malgré les règles draconiennes qu’ils s’étaient imposés, leur amour n’a pas survécu à la vie de couple. Les voici confrontés à l’échec, à leurs solitudes respectives, et à cet Autre qui accompagne leur ennui, leurs silences, leur jalousie et leurs infidélités. Si tu mourais… dépeint la quête d’une veuve, quand elle retrouve dans les papiers de son mari une pièce où il est question d’une jeune actrice que le protagoniste, écrivain et marié comme lui, aurait passionnément aimée. Aventure réelle ou rêvée, elle se persuade de sa véracité. Dans la chaleur écrasante d’un été en Corse, Anna attend toute une journée et toute une nuit son fiancé parti marcher dans la montagne, et qui ne revient pas. Elle t’attend raconte l’inquiétude, puis l’angoisse d’une absence qui se transforme peu à peu en disparition. Michel trompe sa femme avec celle de son meilleur ami et se considère comme inégalable dans l’art du mensonge. Mais quand il apprend que ce dernier est au courant et aurait une relation avec sa propre femme, il réalise qu’il a peut-être trop bien réussi à convaincre son entourage de sa conception de La Vérité, des avantages de la taire aux inconvénients de la dire… La Mère a tout donné pour sa famille. Puis le Fils et la Fille sont partis, le Père s’apprête à faire de même, et elle se retrouve seule, abandonnée de tous. Quand à la suite d’une rupture amoureuse, son aîné revient passer quelques jours à la maison, elle se ranime et brûle une dernière fois avant son anéantissement. Le Père décrit l’égarement d’un homme au soir de son existence, quand la mémoire défaillante disloque ses souvenirs et que tout se brouille autour de lui, les lieux entre eux, les êtres aimés avec les inconnus, et que seule la solitude l'étreint encore pour l’arracher au monde.