Smaïl: Vivre me tue
Rentrée littéraire 1997 : "Vivre me tue", le premier roman d'un inconnu, Paul Smaïl, narrant avec autant de rage que d'ironie mais beaucoup de tendresse aussi, le vécu tuant d'un Beur fou de littérature, fait l'effet d'une bombe. D'autant que l'auteur a choisi de se cacher à l'instar d'un Pynchon ou d'un Salinger. Rentrée littéraire 1997 : Jack-Alain Léger publie une sorte de bilan de sa vie d'écrivain et de musicien : "Ma Vie" (titre provisoire) et subit une énième cabale. Janvier 2001 : Paul Smaïl publie "Ali le Magnifique". La polémique fait rage : à son tour de subir un lynchage médiatique. Surtout quand est révélé enfin que Léger et Smaïl ne font qu'un !